Frédéric Farah : « Le projet européen n’a jamais été démocratique. Il est fondé sur l’idée étrange d’une Europe pour les peuples sans les peuples » Frédéric Farah, professeur de sciences économiques et sociales et chercheur affilié au Laboratoire Phare n’a pas toujours la faveur des grands médias au vu de ses prises de position sur l’Union européenne. Il a écrit plusieurs livres sur le sujet et collabore également avec l’économiste Thomas Porcher. Suite à la parution (confidentielle) de son ouvrage « l’Europe, la grande liquidation démocratique », Putsch a réalisé un très grand entretien (en deux parties) de Frédéric Farah sur la construction du projet européen, sur son avenir ainsi que son ADN anti-démocratique, selon lui.
Olivier Savignac : « On s’attendait de l’Église des conclusions à la hauteur de ce que qu’elle peut proposer pour les victimes de pédophilie »
François Mattei : « Personne ne pouvait acheter Laurent Gbagbo et donc ni le tenir, ni le faire chanter »
André Perrin : « Le débat intellectuel est gouverné par une logique d’exclusion qui repose elle-même sur la disqualification de celui qui pourrait vous contredire »
Djordje Kuzmanovic : « Les Gilets Jaunes sont nés le 14 février 2008 alors qu’était ratifié le Traité de Lisbonne »
Jean-Michel Carré : « Les principaux cyniques sont surtout des hommes d’affaires, des financiers, des lobbys et tous ceux qui transforment nos démocraties en oligarchies »
Maxime Nicolle : « Le gouvernement italien a commis une grossière erreur et fait de la récupération politique »
Ingrid Riocreux : «Les éditorialistes ont passé beaucoup de temps à tourner autour du pot pour ne pas dire que les Gilets Jaunes étaient des beaufs mal pensants»
Grégor Puppinck : « On observe, dans une partie de l’intelligentsia européenne, un fléchissement à l’égard de l’islam »