Lettres d’amour d’Edith à Tony : l’interprétation touchante de Clotilde Courau

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Par Julie Cadilhac – bscnews.fr/ Entière et caractérielle, spontanée et généreuse, lyrique et intransigeante, au travers de la correspondance amoureuse inédite d’Edith Piaf à son Tony Franck, un amour de quelques mois après la disparition de Marcel Cerdan, la chanteuse à la petite robe noire virevolte, respire encore dans nos tympans grâce à ses mots d’amour exaltés. Au travers d’onze lettres, Clotilde Courau nous fait revivre l’histoire d’un amour : des débuts où Piaf aime avec de grands élans de coeur: « Des yeux qui font baisser les miens, Un rire qui se perd sur sa bouche, Voilà le portrait sans retouche De l’homme auquel j’appartiens » à la séparation qui tempête puis se soumet, constat implacable d’une incompatibilité de sentiments.

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Piaf y apparaît aussi attentive et touchante qu’exigeante envers elle-même et les autres. Dans cette intimité épistolaire, on retrouve avec une force étonnante toute l’essence de cette grande dame dont les mélodies ont parcouru le monde et même si Clotilde Courau ne fredonne aucun refrain connu , certains viennent compléter en silence dans notre esprit les paroles intenses qui résonnent sur le plateau : « Quand il me prend dans ses bras …

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