Clotilde courau

Clotilde Courau : une parenthèse d’intimité avec Edith Piaf

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Par Julie Cadilhac – bscnews.fr/Sous la direction artistique de Serge Hureau, Clotilde Courau nous offre une parenthèse d’émotions et de sensibilité en compagnie d’Edith Piaf.

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Elle interprète onze lettres envoyées par Edith à Tony Franck, son amant d’un mois, alors qu’elle vient de perdre son grand amour Marcel Cerdan ; au travers des mots vibrants et sensibles de ce « monstre sacré », elle nous rappelle la femme aimante et libre qu’elle fut. Accompagnée des notes graciles et véloces de l’accordéoniste Lionel Suarez, Clotilde Courau n’incarne pas la chanteuse à la petite croix au cou et à la célèbre petite robe de scène, elle restitue avec délicatesse et intelligence l’essence sensible d’une correspondance à coeur ouvert. Rencontre avec une princesse des planches et des plateaux au propos fort pertinent.

Vous souvenez-vous de votre première rencontre avec une chanson de Piaf?
C’était avec la chanson Les amants d’un jour. Après, beaucoup plus tard, c’est en jouant Irma la douce mis en scène par Jérôme Savary parce que ça a été écrit par Marguerite Monnot qui a composé la musique de cette comédie musicale et là, littéralement, elle est entrée dans ma vie mais j’avais déjà un âge adulte à ce moment-là.

Et aujourd’hui, si vous deviez citer la chanson d’Edith Piaf qui vous touche le plus… laquelle serait-ce?
C’est difficile d’en citer une. Je les aime toutes : de L’homme à la moto à l’hymne à l’amour, de J’m’en fous pas mal à Milord…et d’ailleurs je me refuse à n’en citer qu’une.

Dans le spectacle, chantez-vous par moments?
Non, je ne chante pas. Je voulais …

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