La loi du marcheur :  » Tant qu’on raconte des histoires, on est vivant »

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Par Julie Cadilhac – bscnews.fr / Crédit photo : Giovanni Cittadini Cesi/ Dans La Loi du Marcheur, Nicolas Bouchaud offre l’opportunité d’entendre les propos passionnants que Serge Daney – rédacteur en chef des Cahiers du Cinéma, journaliste à Libération et fondateur de la revue Trafic – a échangé avec Régis Debray quelques mois avant sa mort : l’occasion de parler de son expérience de critique de cinéma, parsemant son récit d’anecdotes drôles et objectives , notamment sur ses erreurs de jeunesse, mais aussi de s’interroger sur l’avenir du septième art et le rôle que l’art en général doit avoir auprès de l’humain.

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Un moment théâtral formidable tant par la qualité de jeu du comédien que l’ingéniosité de la mise en scène. En effet, Eric Didry et Nicolas Bouchaud ont su créer une proximité entre l’acteur et le public extrêmement plaisante et conviviale et l’on peut dire que toute la mise en scène est une réponse brillante aux convictions formulées par Serge Daney. Ce dernier nous explique ainsi que le théâtre, le cinéma et tous les arts en général , s’ils souhaitent résister à la télévision qui a fait de « l’espace public, une poubelle » , doivent avoir conscience qu’on peut entrer par deux portes dans un art : par une porte populaire et rassembleuse et par une autre, plus étroite, élististe, conceptuelle, intellectuelle et qu’il faut faire dialoguer ces deux façons d’aborder …

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