Alexandra Koszelyk : « Dans mon roman, il est question des langues, de la littérature, car c’est bien là qu’une personne trouvera des réponses à ses questions identitaires » Tout commence en 1986 à Tchernobyl, lors de l’explosion de la centrale nucléaire. Lena et Ivan, les personnages principaux du livre, sont séparés l’un de l’autre et déracinés. Dans son premier roman Alexandra Koszelyk parle d’écologie, de racines et d’identité mais aussi de la capacité de certaines personnes à garder leur humanité même plongés dans des tragédies. Putsch l’a interviewée à l’occasion de la sortie du livre.
Antoon Krings : « Parfois j’ai l’impression de parler d’un univers révolu, où les oiseaux, les insectes, les abeilles n’ont plus leur place »
Antoine Manier (Video Mapping Festival) : « Dans le mapping on joue du mélange entre l’image et son support »
Nathalie Bondil, directrice du BAM (Montréal): « Seuls les spécialistes cadenassent les arts dans leur monologue disciplinaire »
Pierre Morvan (Festival du Chant de Marin) : « En Bretagne, il n’est pas difficile de parler de racines et on sait que ce n’est pas sale »
Gildas Le Floch : « Jazz in Langourla revendique sa simplicité, tout en proposant une programmation de haut niveau dans un cadre unique en Bretagne »
Philippe Shangti : «Quand on a des capacités artistiques pour s’exprimer, on a l’interdiction de ne pas les utiliser»
Sylvie Gonzalez (Musée Paul Eluard, Saint-Denis) : “Ici, les anciennes cellules sont devenues des espaces d’exposition”