Adis Simidzija : « Être en paix avec mon identité bosnienne m’a permis d’apprécier encore plus la richesse de mon identité québécoise » Fondateur de l’organisme à but non lucratif Des livres et des réfugiés, Adis Simidzija est bosnien où il a connu les horreurs de la Guerre en Bosnie-Herzégovine. A 10 ans, il arrive au Québec dans un pays dont il ne connaît rien et surtout pas la langue. A force de travail et au gré de rencontres, il s’insère parfaitement dans la société québécoise grâce aux livres. Aujourd’hui, il est l’une des figures de la vie culturelle québécoise et lorsqu’on lui pose la question sur l’importante de la langue, il répond : « Aujourd’hui, la langue est devenue un outil de renversement de pouvoirs. Un outil d’affirmation de soi. » Un grand entretien sur l’identité, la langue, la littérature et le Québec.
Philippe Sauro Cinq-Mars: « Les nouveaux gauchistes ont oublié leur raison d’être : l’émancipation du peuple québécois »
Docteur Violaine Guérin: « Les Français doivent réaliser qu’on est en train de détruire leur médecine »
Francine Bouchet, La joie de Lire : « La question centrale est la présence de la lecture dans les familles, où le livre est lieu d’échanges »
Fabrice Di Vizio : « Si on veut fermer les commerces non essentiels, on commence à fermer l’Élysée, on continue avec Matignon et on met le Ministère de la Santé sous verrou »
Jérôme Blanchet Gravel : « La société québécoise a été individualiste, décomposée et atomisée durant cette crise sanitaire »
Heather Morris : « Découvrir la réalité des violences sexuelles subies par les femmes à Auschwitz a été une expérience douloureuse »
Judit Varga : « Nous n’avons pas abandonné la partie de notre souveraineté nationale qui décide de certaines questions cruciales, comme avec qui nous voulons vivre dans notre propre pays »