Laurence Tardieu : «L’art comme une prise de risque»

par
Partagez l'article !

Par Stéphanie Hochet – bscnews.fr/ Le cauchemar pour l’écrivain est d’être sans suc pour écrire et de penser que cette sécheresse durera toujours. Il y a quelques années, l’écrivain Laurence Tardieu était atteinte de ce mal et croyait qu’il en serait toujours ainsi quand le hasard, la curiosité ou peut-être un mystérieux sixième sens l’ont amenée à la galerie du Jeu de Paume où l’on exposait les oeuvres de la photographe américaine Diane Arbus.

Partagez l'article !

Et quelque chose se passa. Sans doute, Laurence Tardieu avait-elle besoin d’une rencontre forte qui lui permette de sortir de son impuissance d’écrivain, sans doute a-t-elle vu une soeur en Diane Arbus qui, certes, est née à une autre époque qu’elle mais vient d’un milieu social comparable à celui de Laurence : la confortable bourgeoisie new-yorkaise, parisienne, milieux clos, …

Pour lire la suite et accéder en illimité aux articles de , profitez de notre offre de lancement

[Offre d'abonnement]

4,99€*

* Accès à tous les articles de par renouvellement mensuel
Abonnez-vous
Putsch
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.

Vous avez lu vos

1 articles offerts.

M'abonner à