Le sourire d’Audrey Hepburn : un instant gracile et délicat

par
Partagez l'article !

Par Olivier Fréfaville-Gratian D’Amore – Une ombre brune, un voile de tristesse, plane sur l’évanescent sourire d’Audrey Hepburn. Une absence, celle de son père, l’empêche de s’épanouir, d’avancer. De lui, elle n’a que de rares souvenirs tendrement chéris et la marque au fer rouge de son engagement idéologique derrière les nazis. Avec beaucoup de délicatesse, Clémence Boulouque saisit les pensées, les doutes de la célèbre comédienne avant d’improbables retrouvailles avec celui qui l’a abandonnée trente ans plutôt.

Partagez l'article !

Malgré la mise en scène trop retenue de Jérôme Kircher qui nous tient à distance, Isabelle Carré illumine la scène de sa douce chaleur, de son charme discret, et nous emmène avec une grâce infinie jusqu’à Audrey, la femme, la fille, la mère.

La critique. Dans un halo de lumière, assise sur un confortable fauteuil club Chesterfield de cuir clair, une femme, cintrée dans un manteau bleu, est assoupie. Tête penchée, cheveux blonds plaqués, coiffés en un élégant chignon, le visage fermé, elle semble perdue dans ses pensées. Un soubresaut, elle s’éveille …

Pour lire la suite et accéder en illimité aux articles de , profitez de notre offre de lancement

[Offre d'abonnement]

4,99€*

* Accès à tous les articles de par renouvellement mensuel
Abonnez-vous
Putsch
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.

Vous avez lu vos

1 articles offerts.

M'abonner à