D’un aimable capharnaüm Appelons ce livre la bible profane, puisqu’elle inspire le sergent major aussi bien que la blanche couventine et réunit dans un irrésistible paganisme la vierge qui vous pisse dans le gosier et Flaubert qui s’est foutu une culotte. L’entrée y est libre et libertine, pourvu que vous adhériez à la philosophie du RAP, le trio […]