Un été à l’ombre des Muses Guillaume Apollinaire et Philippe Jaccottet occupent cet été le haut de l’affiche poétique. Trois volumes pour chacun : un partage de frères ? C’est moins simple. Que pèsent les 66 pages des « Cormorans », proses de Jaccottet face aux 1785 pages de l’apollinarienne « Beauté de toutes les douleurs », somme contenant à […]