Jérôme Garcin : Bas les masques !
Dans sa préface aux portraits d’écrivains collectés par Hannah Assouline (1), Jérôme Garcin professait une estime particulière pour « les patriarches qui avaient traversé tête haute le vingtième siècle sans y perdre leur âme ». Il enfonce le clou, dans un précieux déploiement de salubrité intellectuelle.
Happé par le tourbillon diabolisé de la littérature sous l’Occupation, il arrive encore que l’on soit incapable de distinguer l’ivresse de l’ivraie. Puis, chemin …