Macron face au coronavirus : aux confins des frontières

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À compter du 17 mars, la France s’est retrouvée plongée dans le confinement général face à la propagation mondiale du coronavirus chinois (qui sévit depuis le 30 décembre dernier) ; une première dans son histoire. Après avoir fermé, coup sur coup, les écoles et la plupart des commerces (sauf les établissements vendant le strict nécessaire), entre le 12 et le 14 mars, le Président Macron a, en effet, opté pour un grand confinement de sa population, digne des situations de guerre.

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Tribune d’Henri Feng, Docteur en histoire de la philosophie

À compter du 17 mars, la France s’est retrouvée plongée dans le confinement général face à la propagation mondiale du coronavirus chinois (qui sévit depuis le 30 décembre dernier) ; une première dans son histoire. Après avoir fermé, coup sur coup, les écoles et la plupart des commerces (sauf les établissements vendant le strict nécessaire), entre le 12 et le 14 mars, le Président Macron a, en effet, opté pour un grand confinement de sa population, digne des situations de guerre.

Le retour à la réalité

Dorénavant, la pratique du pouvoir ne sera plus une partie de plaisir pour les startupers macroniens. Ou quand la peur de la réalité fait le lit de l’irresponsabilité ; à l’image d’Agnès Buzyn, qui a quitté précipitamment le ministère de la Santé pour se porter candidate à la Marie de Paris (le 17 février). A la frontière de la décence … Mais le principe de plaisir se heurte toujours à celui de réalité. Finalement, les États dits « modernes », économiquement libéraux et sociétalement libertaires, n’ont-ils pas un véritable problème philosophique avec l’idée de frontière, qui elle seule aurait …

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