Printemps des Comédiens : le bruit et la fureur de Macbettu

par
Partagez l'article !

Au Printemps des comédiens, le Macbeth de Shakespeare est revisité par Alessandro Serra en langue sarde et dans un style furibond. Impressionnant.

Tout commence dans l’obscurité la plus totale. Trois sorcières informes émergent d’un monolithe noir rappelant 2001, l’odyssée de l’espace. Elles gesticulent et s’immobilisent dans la poussière blanche en psalmodiant des versets incompréhensibles mais probablement incantatoires. Par la chorégraphie et son décor, l’entrée en matière est déjà, jubilatoire.

On comprendra que …

Pour lire la suite et accéder en illimité aux articles de , profitez de notre offre de lancement

[Offre d'abonnement]

4,99€*

* Accès à tous les articles de par renouvellement mensuel
Abonnez-vous

Vous avez lu vos

1 articles offerts.

M'abonner à