Duras et Miller : « l’incantatrice » et le sacripant

par
Partagez l'article !

Par Marc Emile Baronheid – bscnews.fr/ Quelle convergence entre Aragon et Duras ? Le premier écrivit « Je suis plein du silence assourdissant d’aimer ». S’il faut en croire Claude-Henry du Bord, la seconde est « maître de l’ellipse, des silences, des sous-entendus ».

Partagez l'article !

Il sous-titre « de Pierre Abélard à Marguerite Duras », une anthologie d’extraits de textes amoureux, tous genres confondus, de l’amour courtois aux flambées érotiques qui font l’économie de l’incandescence friponne (horresco referens, chemin faisant on a excommunié Sollers). Une notice nécessaire et suffisante présente chaque auteur. Duras donc, avec un extrait de L’Amant de la Chine du Nord : « Ils ne se regardent pas. Puis elle supplie. Alors il se met en elle avec une douceur …

Pour lire la suite et accéder en illimité aux articles de , profitez de notre offre de lancement

[Offre d'abonnement]

4,99€*

* Accès à tous les articles de par renouvellement mensuel
Abonnez-vous
Putsch
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.

Vous avez lu vos

1 articles offerts.

M'abonner à