Denis Lavant incarne les errances de Céline: une performance complexe mais remarquable

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Par Florence Gopikian Yérémian – Le voici enfin sur scène ce Céline que tant de critiques ont détesté. Le voici donc le prosateur populaire à la langue râpeuse et aux pensées radicales. Comme de coutume, il est excessivement antipathique, il peste, il râle, mais cette fois-ci, il le fait depuis son lit car la fin le guette…

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Repoussant la faucheuse le temps d’un monologue, il se lève en grommelant : pas prêt d’agoniser le Père Celine! Pas avant de nous avoir conté son dur et authentique labeur d’écrivain. Six ans qu’il a mis pour pondre son fameux Voyage au bout de la nuit! Six ans et 50000 pages pressées et écrasées pour en extraire un livre si différent des autres qui allait chambouler les cerveaux de tous les pseudo-littérateurs de son temps!
C’est ce narrateur révolté et complexe qu’a choisi d’incarner le comédien Denis Lavant. S’aspergeant de pessimisme, il fait face à un public sur la défensive …

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