Nîmes : Jamiroquai, un indien dans la ville

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Par Julie CadilhacPUTSCH.MEDIA / 21 juillet 2010, 22h30…Certes, il aura fallu du temps pour voir l »Iroquois du jazz sur scène et une certaine dose de persistance. Après avoir frôlé l’insolation et supporté la chaleur caniculaire dans les gradins des arênes, après avoir réussi péniblement à atteindre un comptoir ou un vendeur ambulant et enduré les brailleries d’une première « première partie » marquée par une volonté ostentatoire d’être – branché – déjanté ( au casting, entre autres, des filles -piles électriques, une iroquoise punk…et un répertoire…euh? fatigant…) dont on n’a pas su ( ou voulu) entendre et retenir le nom, après avoir été remué par les éclectiques ambiances proposées par le DJ Wax Taylor – de qualités inégales ( Une mention très bien toutefois pour Positively Inclined et son clip ) – ENFIN, Jay Kay est venu électriser la scène. C’est bien simple, lorsque le chanteur débarque sur le plateau, on ne voit plus que lui. Tout s’efface. Ses jeux de jambe, sa pêche épatante et le dynamisme entraînant de ses mélodies irradient les tympans d’énergie positive. Le public se lève très vite, chante et danse en liesse : Cosmic Girl , Virtual Insanity, Alright, Canned Heat… dans une folie acid -jazz et disco, l’indien britannique empanaché mène la danse face à un public conquis. Jay Kay et son groupe ont présenté une nouvelle chanson prénommée « Rock Dust Light Star » mais c’est surtout au rythme des classiques que le concert s’est déroulé – pour le plus grand plaisir des fans mais aussi des plus néophytes. Jason Kay a annoncé également qu’un prochain album devrait sortir en novembre: on ne peut qu’être impatient…let’s dance with Jamiroquai!

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