Pauline Dreyfus : un huis clos décapant sur les coulisses des prix littéraires Par Emmanuelle de Boysson – Par une belle journée de mai 68, le personnel du très chic hôtel Meurice de Paris se met en grève. Ce jour-là, un déjeuner doit avoir lieu au cours duquel un prix littéraire prestigieux, le Prix Nimier, sera remis à un jeune inconnu : Patrick Modiano. Auteur d’un essai sur Paul Morand « Immortel enfin » (Grasset, Prix des Deux Magots) et d’un roman à succès : « Ce sont des choses qui arrivent » (Grasset, Prix Albert Cohen), Pauline Dreyfus réussit un huis clos décapant où deux mondes se font face : celui du cercle feutré des écrivains et celui des maîtres d’hôtel, cuisiniers et grooms d’un palace transformé en QG révolutionnaire.
Augustin Trapenard : « 21 CM est un grand coup de pied dans la tradition de l’émission littéraire à la TV »