« Le nouveau vaccin contre le Covid porte un nom : Vladimir Poutine »
Tribune de Jean-Pierre Marongiu, fondateur et directeur général du G.R.E.S
La russophobie déferle dans les médias et dans les associations progressistes comme la haine des néo-complotistes du Covid.
Le Covid et ses variants ont disparu des écrans radars médiatiques en l’espace d’une semaine. Ce qui nous paraissait être une catastrophe planétaire s’est soudainement volatilisée, la science et l’opinion publique cherchaient désespérément un vaccin efficace contre cet ignoble fléau qui a divisé la France durant 2 ans, il était là, à portée de chars et portait le doux nom de Vladimir Poutine. Pour autant, ce variant-là ne mute pas, il est même constant dans sa démesure.
Il n’est pas question d’absoudre le néo-tsar russe de ses crimes, l’agression de l’Ukraine est une abomination et une injure faite au monde feutré des démocraties. Vladimir Poutine est un tyran, un despote et un criminel, il ne peut exister de débat sur ce point. Les Ukrainiens résistent sous les bombes comme la France dut le faire durant la Deuxième Guerre mondiale. La souffrance des civils ne doit en aucun cas être minorée ou ignorer à l’autel de la réalpolitique.
Pour autant, prendre un tant soit peu de recul et chercher à analyser les causes et les responsabilités d’un tel désastre ne fait pas de ceux qui s’y risquent des complotistes ou des collaborateurs du fascisme.
La fédération féline vient d’interdire les chats russes de toute compétition animalière, un amalgame subtil entre chats et chars. Interdire des sportifs ou des artistes russes de se produire en Europe est une radicalisation progressiste qui amalgame tous les Russes à Vladimir Poutine. Paradoxalement, hier encore la doxa du bien stigmatisait l’amalgame des musulmans et des islamistes. La russophobie est devenue un racisme autorisé dans certains médias, il est légitime de s’interroger sur l’identité des marionnettistes otaniens et sur leurs intérêts.
Les racines …