Qu’est-ce qu’un poète ? Qui peut « prétendre » en être ? Pourquoi, en France, la poésie est-elle taxée d’élitiste alors qu’elle fait appel à notre cerveau reptilien, à l’émotion pure ? Pourrait-il s’agir d’une pudeur mal placée, voire d’une peur de se perdre (ou de se trouver) dans le bruit du silence entre deux mots ? A moins que le lecteur ne soit devenu un pantouflard qui préfère une histoire qui lui prenne la main plutôt que de tenter le vertige procuré par des syllabes qui s’entrechoquent ?
par Maïa Brami
Dans sa Lettre ouverte à Rimbaud (Anabet éditions), Noël Tuot tue haut et fort — désolée pour le jeu de mots facile ! — les clichés référents au poète, sorte de Dieu détenteur de la vérité et donneur de leçon. Il lui fait subir une véritable « iconoclastie » à coups de sabre ! Et quand il tranche l’Art dans le lard, le sang gicle, les têtes tombent et on s’en paye …
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