Agnès Thill : « Au sein de LREM, l’élargissement de la PMA est aussi une façon de pulvériser la droite »

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La députée de l’Oise a été exclue de « La République En Marche », ainsi que de son groupe parlementaire parce qu’elle a exprimé des positions contraires à l’extension de la PMA aux couples de femmes. Pour Agnès Thill, son ex-parti affiche un intérêt de façade pour les droits des femmes mais, en réalité il poursuit une fin strictement politique: la « pulvérisation » de la droite.

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Comment est-on arrivé à votre exclusion du parti de La République En Marche ?

Tout a commencé en mai 2018, lors de la présentation d’un projet de loi visant à élargir le recours à la PMA, aux couples de femmes. Celui qui portait ce projet de loi, Guillaume Chiche, définissait comme obscurantistes tous ceux qui s’y opposaient. Personnellement, j’ai manifesté ma contrariété. Puis nous sommes arrivés à l’introduction de l’ouverture de la PMA dans la révision de la loi bioéthique. Il est prévu que cette loi soit revue, tous les sept ans, s’il y a des avancées médicales.

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