Sète: une leçon théâtrale sur notre présent

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Par Julie CadilhacPUTSCH.MEDIA/ Photographies®Maarten Vanden Abeele/ Voilà une pièce qui « oscille entre conte de fées et tragédie, entre récit naïf et douleur indicible. Au fil des ans, Lauwers a atteint dans son écriture et dans ses mises en scène une insoutenable légèreté: la légèreté d’évoquer l’insoutenable ». ( Erwins Jans). Elle narre la fin tragique d’un reporter-photographe de guerre et la quête de sa soeur, danseuse, qui refuse d’accepter sa mort et tente de le retrouver en revenant dans la maison des cerfs, dernier lieu que ce dernier a évoqué dans son journal intime.

La maison des cerfs est le troisième et dernier volet du tryptique Sad Face/ Happy Face de Jan Lauwers. Ce dramaturge et metteur en scène explique que le théâtre, pour survivre aujourd’hui, doit « se redéfinir » et mettre en valeur ce que l’art vidéo, le cinéma ou l’art plastique ne peuvent pas représenter. « L’art, au fond, parle de l’homme et de la condition humaine, et …

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