David McNeil : la lecture, une litanie de malentendus ?

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Parc Marc Emile Baroneid – Beau dommage. La lecture est une litanie de malentendus. Quiconque a été touché par les chansons de David McNeil plongera dans son nouveau récit, croyant y retrouver l’atmosphère charmante de Passantes de Passy.

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Et bien non. Cette resucée d’une fin annoncée et d’un désespoir désinvolte est une faute de goût. Le paradis perdu de la bohème chic, la complaisance à énumérer ses bonnes fortunes amoureuses, le palmarès immobilier, l’aversion pour les poches plaquées, la crucifixion clairvoyante de Matthieu Ricard « l’homme-sandwich du bouddhisme », le recours systématique à la digression …

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