(Vidéo) Maitre Carlo Brusa: « Pfizer s’est battu pour que les contrats ne soient pas publiés parce qu’ils savaient que tout serait révélé ! »

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Les contrats entre les gouvernements nationaux et les géants pharmaceutiques ont suscité de nombreuses interrogations depuis le début de la pandémie de COVID-19, principalement en raison du manque de transparence perçu par le public et subi par les députés européens eux-mêmes. Récemment, Maître Carlo Brusa, avocat renommé et en lutte depuis 2020 contre cette opacité et la perte des libertés individuelles sur l’auteur du sanitarisme, a révélé des informations concernant l’accord entre l’Afrique du Sud et la société pharmaceutique Pfizer, ajoutant du feu à ce débat déjà brûlant.

Invité sur Sud Radio, lors d’une interview menée par André Bercoff, Maître Brusa a clairement exprimé son inquiétude et sa frustration. «  »Nous sommes dans une tromperie ! Je suis juriste, ce n’est pas du complotisme ! », s’est-il exclamé. Sa principale préoccupation réside dans le fait que Pfizer aurait fait pression pour éviter la publication de ce contrat, craignant que les détails contenus à l’intérieur ne soient révélateurs.

Les raisons exactes pour lesquelles Pfizer souhaiterait garder le contrat secret restent spéculatives. Cependant, dans le contexte mondial, de nombreuses entreprises pharmaceutiques ont été critiquées pour avoir fixé des conditions qui privilégient leurs intérêts commerciaux, parfois aux dépens de la santé publique. Les clauses relatives aux prix, à la distribution, à l’indemnisation et aux obligations en matière de propriété intellectuelle sont quelques-unes des préoccupations souvent évoquées.

L’argument de Maître Brusa n’est pas sans fondement. La transparence est essentielle pour établir la confiance du public, en particulier lorsqu’il s’agit de questions de santé publique aussi critiques.

L’implication de Brusa ajoute une voix supplémentaire à l’appel mondial en faveur de plus de transparence dans les contrats liés aux vaccins COVID-19.  Il est crucial que la confiance publique soit maintenue, non seulement dans les vaccins eux-mêmes, mais aussi dans les processus par lesquels ils sont acquis et distribués. Et aussi bien la commission européenne dirigée par Ursula Von der Leyen que Pfizer sous la direction d’Albert Bourla ne semble prêt à faire toute la lumière sur la réalité médicale et financière de ces vaccins.

 

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