Eloïse Soave, 32 ans, est persuadée que la dégradation brutale de son état de santé qu’elle a développées suite à sa seconde vaccination contre le Covid-19 en juillet 2021 est liée à la vaccination. Bien que précédemment en bonne santé, elle a depuis vécu jusqu’à 27 malaises et a dû être prise en charge à l’Hôtel-Dieu à Paris dans le cadre du protocole Casper. Incapable de reprendre son travail, elle a supporté des coûts médicaux et judiciaires considérables.

Aujourd’hui, elle souffre de nombreuses pathologies : pyélonéphrite aiguë, asthénie dyspnée, lourdeur des membres inférieurs, incontinence de la veine grande saphène, augmentation du volume de l’ovaire droit du fait de deux kystes, pathologie cardiaque…

Outre sa lutte pour sa santé, elle s’est tournée vers le système judiciaire, assignant Pfizer et la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de Seine-et-Marne. En octobre 2022, la justice française a reconnu la possible existence de préjudices et a désigné deux experts pour étudier un éventuel lien entre sa condition et le vaccin. Toutefois, face à l’absence de nouvelles de ces experts, elle envisage de contester leur nomination avec l’aide de son avocat.

Au micro d’André Bercoff sur Sud Radio, dans une interview bouleversante, elle a avoué que sa « maladie est une mort lente, j’ai fait une demande préalable d’euthanasie ».  On se rappelle qu’il y a quelques semaines qu’Aurélien Rousseau, ministre de la Santé, a nié les effets secondaires du vaccin contre le covid19.

Victime officiellement reconnue d'effets indésirables suite à la vaccination contre le #COVID19, Eloise Soave témoigne : "ma maladie est une mort lente, j'ai fait une demande préalable d'euthanasie"@MillionsMissgFr
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— Sud Radio (@SudRadio) October 24, 2023