« Comment le sanitarisme ouvre une voie vers la tyrannie… »

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Tribune du jeune québécois Olivier Jolicoeur étudiant en géographie environnementale à l’Université de Montréal. À l’affut de l’actualité sociale et politique, il s’intéresse aux enjeux qui touchent l’identité, le territoire et l’environnement. Il tente par la réflexion et le débat de faire partie de l’antidote à la pensée unique universitaire et médiatique.

 

La liberté, cette valeur moquée, détestée, vilipendée était autrefois tenue en haute estime et mise au fondement de notre civilisation. « Libârté ! » dit-on aujourd’hui en la méprisant comme si elle avait été touchée par le diable. Cette valeur pour laquelle nos ancêtres se sont battus sur les plages de Normandie, dans les Ardennes, au milieu de l’Atlantique Nord, n’est plus que la caricature d’un monde en déclin. Après tout, pourquoi se plaindre ? On peut acheter ce qu’on veut sur Amazon et visionner ce que l’on veut sur Netflix ! Puis, pour participer à la vie commune et vous déplacer sur votre territoire, vous n’avez qu’à vous faire vacciner ! Pourquoi donc avancer quelque chose d’aussi choquant que nous aurions ouvert une voie vers la tyrannie ? Mes raisons pour affirmer une telle chose sont simples, mais méritent d’être expliquées : d’abord en raison d’une nouvelle vision de la liberté qui rompt avec celle des lumières et qui inverse nos fondements civilisationnels. Ensuite par l’effet de morcellement social qui mène à la destruction des conditions mêmes de l’existence du bien commun en prétendant lutter pour lui.

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