Patrice Quarteron - L'interview chez PUTSCH

Patrice Quarteron : « Nous ne sommes pas là pour négocier la France! »

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L’amour du drapeau et les valeurs de la France, voici ce qu’incarne le boxeur professionnel Patrice Quarteron. En dehors des rings, c’est un combat qu’il mène obstinément contre vents et marées. Il frappe fort, très fort contre celles et ceux «  qui crachent sur le drapeau national ». Patrice Quarteron aborde plusieurs thèmes : les mesures d’Emmanuel Macron sur les banlieues, « les complicités de certaines municipalités quant au communautarisme » selon le boxeur, le cas Karim Benzema et l’Equipe de France, la radicalisation des jeunes ainsi que l’éducation. Patrice Quarteron donne ses solutions. Un long entretien qui cogne dur sur l’état de la société française avec, en première ligne, la classe politique.

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Par Matteo Ghisalberti et Nicolas Vidal – Patrice Quarteron donne ses solutions. Un long entretien qui cogne dur sur l’état de la société française avec en première ligne la classe politique.

Que pensez-vous du Rapport Banlieues remis par Jean-Louis Borloo au Président de la République et qui a été enterré dès sa présentation?
C’est le énième plan banlieue de ces quarante dernières années. On proposait encore de donner de l’argent aux maires – certains sont des « pompiers pyromanes » – alors qu’ils n’ont rien fait d’autre qu’accentuer le communautarisme. Ces plans n’ont rien réglé. A l’époque des premiers plans, on caillassait déjà les policiers, puis on a commencé à leur tirer dessus. Ensuite on a tenté de les brûler. Après il y a eu la naissance de la radicalisation et maintenant c’est le terrorisme qui apparait.
Ce que j’appelle ces « coups de peinture dans les quartiers », lors desquels on proposait des cours de poterie et des cours de rap pour les jeunes ont consisté en une politique du grand n’importe quoi. Les subventions pour les « Plans Banlieues » successifs ont servi en réalité à endormir les gens. On ne répondait pas à leurs vrais besoins.
Alors que les habitants des banlieues avaient besoin, comme tout le monde, de grandir et de s’épanouir intellectuellement, on leur a envoyé les «Grand Frères» et puis sont arrivés des imams étrangers qui ont aggravés ultérieurement le communautarisme.
On a déversé des millions d’euros à des maires qui, certains, ont alimentés ce communautarisme en l’aggravant. Ils ont même fait « disparaitre » des pans entiers de la société.
En effet, dans les banlieues, il n’y a plus de blancs. J’ai toujours vécu dans une banlieue et je me souviens, …

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