ERIC CARTIER

Eric Cartier : la voix de l’Amérique Underground

Partagez l'article !

Par Nicolas Vidal – Nous avons rencontré Eric Cartier par hasard sur un trottoir parisien à l’occasion d’un vernissage à la Galerie Daniel Maghen. Le propos a été éminament passionnant dès les premières minutes: New York des années 70/80, les Ramones, les Comics, la bd et le dessin. Eric Cartier, bourlingueur patenté, est intarissable.

Partagez l'article !

Entre deux anecdotes, de puissants éclats de rires et quelques citations en anglais, le bonhomme est tout simplement survolté pour nous dire quelques mots bien sentis sur sa nouvelle bande dessinée qui vient de paraître sur les Ramones. Eric Cartier est une voix de l’Amérique Underground dans toute sa splendeur.

Une première question, Eric Cartier, racontez-vous uniquement ce que vous avez vécu et les univers dans lesquels vous vous êtes immergé ? Ou pourriez-vous travailler sur un sujet inconnu qui exigerait une documentation préalable ?
Sans vouloir faire de la psychologie à deux balles, on raconte toujours un peu qui on est, c’est toujours planqué dans son trait (de caractère) et j’ai une prédilection pour des sujets qui touchent à l’expérience, au vécu, c’est ce qui m’a tout de suite branché dans la BD underground U.S. ou les histoires de Franck Margerin , Jano et bien d’autres auteurs de feu Pilote et Métal hurlant. Mais ce n’est pas de l’ego-trip, simplement qu’il faut avoir quelque chose à raconter et le boulot c’est d’apprendre comment… donc, avec le temps, peu importe au fond le sujet, l’important c’est la sincérité et l’énergie transmise dans son boulot. (je laisse à d’autres la mauvaise foi et la désinvolture qui sont soit lassantes soit …

Pour lire la suite et accéder en illimité aux articles de , profitez de notre offre de lancement

[Offre d'abonnement]

4,99€*

* Accès à tous les articles de par renouvellement mensuel
Abonnez-vous

Vous avez lu vos

1 articles offerts.

M'abonner à