Rock’n’roll : la farce amère de Guillaume Canet

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Par Jonathan Rodriguez – Guillaume Canet fait sa crise de la quarantaine. À l’heure où la comédie française patauge, l’acteur-réalisateur français revient au cinéma avec une réalité-fiction, après l’émotion dégoulinante de ses Petits mouchoirs (lire la critique ici) et l’échec commercial de Blood Ties. Pour se relever, le Petit Prince du cinéma français mise sur un scénario sous forme d’autoportrait critique et dérisoire poussé à son paroxysme. Etat des lieux.

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Cette comédie qui se veut jusqu’au-boutiste et totalement déjantée tourne rapidement court, et la mayonnaise ne prend manifestement pas. Jamais. Face à cette farce amère – sorte de mise en abîme complaisante de sa propre vie – le malaise s’installe rapidement. À mesure que les minutes défilent, la gêne devient palpable. Il y a quelque chose de dérangeant à voir Guillaume …

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