Mathias Imbert : Imbert, Imbert, la cerise sur le gâteau

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Par Audrey Prieur – Mathias Imbert, auteur, compositeur, interprète, signe « Viande d’Amour », un quatrième album, cuit à point, dont les douze titres ont la chair tendre et poétique. Accompagné par Stephen Harrisson, (contrebasse et Banjo), Grégoire Gensse (piano) et Denis Charolles (batterie), le trentenaire à la gouaille sombre et sarcastique, arpente déjà, depuis quelques années, les chemins scabreux de l’âme humaine, avec sa contrebasse aux formes généreuses.

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Imbert Imbert, affamé de mots abrupts et tendres, a l’amour libertaire (Je t’emmerde mon amour) et la verve contestataire (Le cancer des gens soumis). Il biberonne au temps qui passe (A la gorge du temps), et aime le « poétiquement incorrect » (J’veux m’sentir). Mais parfois, le temps d’un titre, il s’abandonne aussi à l’amour, qui le revigore (La cerise), et nous dit malgré …

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