Les pictoresses se rebiffent : quand les femmes prennent le pinceau par les cornes

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Par Marc-Emile Baronheid – bscnews.fr/ L’histoire de l’art a sa flibustière. Elle s’appelle Anne Larue et entend rendre à Césarine ce qui est à Césarine. Naguère oubliées ou négligées (pareille avanie remonterait aux grottes préhistoriques, puisque le « peintre des cavernes » serait en réalité un groupe majoritairement féminin), les femmes ne veulent plus jouer les muses mais prendre le pinceau par les cornes.

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Certes, nous avons coutume de rendre hommage à quelques grandes figures artistiques féminines, mais elles ne seraient que des arbres cachant une forêt luxuriante. Même chose à la Renaissance, époque où existaient des pères avorteurs (comme on dit des mères castratrices). Jusqu’à la tauromachie, sommée d’avouer sa large part féminine, avec son torero qui ne ressemble en rien à …

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