Niuver : L’identité sensuelle de la liberté

par
Partagez l'article !

Par Nicolas Vidal – bscnews.fr / Niuver ne s’embarrasse pas de ses origines cubaines dans ses chansons. Celles-ci font partie de son identité qu’elle revendique, mais elle s’appuie d’abord sur la liberté de ses émotions, de ce qu’elle ressent et de qu’elle souhaite exprimer. Entre deux styles, deux rythmes, deux sourires, Niuver revient avec Transnochando, un album qui vous prend par la main en vous susurrant des textes, des mots et un pétillant bouquet d’émotion. Entre Luz Casal et Art Mengo, Niuver fait ce qu’il lui plaît et pourvu que cela dure.

Partagez l'article !

Votre histoire avec la musique est d’abord une passion de votre enfance. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Je chante depuis toujours. Maman n’arrêtait pas de me faire taire à la maison tellement je chantais à longueur de journée. Mon arrière grand-mère d’origine espagnol et créole me berçait avec des chansons de ces deux pays. Dès l’école, je chantais régulièrement dans les activités culturelles de ma classe. Je composais avec ma meilleure amie des chansons pour les différents événements de l’école. Puis j’ai été choisie pour former un groupe avec 4 autres petites filles musiciennes du village. Avec un répertoire de chansons latino-américaines engagées, nous avons parcouru notre province de Matanzas de festival en festival.

À première vue, on pourrait croire que Niuver est votre nom d’artiste, mais pas du tout, c’est votre prénom !
Mes parents m’ont toujours dit qu’ils avaient inventé ce prénom. La vérité est que je ne sais pas vraiment son origine. La seule chose que je sais ce qu‘il n’est pas commun à Cuba, et que là-bas c’est …

Pour lire la suite et accéder en illimité aux articles de , profitez de notre offre de lancement

[Offre d'abonnement]

4,99€*

* Accès à tous les articles de par renouvellement mensuel
Abonnez-vous

Vous avez lu vos

1 articles offerts.

M'abonner à