Nadeah : de serveuse à étoile montante de la nouvelle scène
Propos recueillis par Nicolas Vidal – bscnews.fr / Le premier contact avec la musique de Nadeah est une sorte de grand bol de fraîcheur qui vous saute au visage. Cette blonde australienne sort son premier album et commence déjà à se faire un joli nom grâce à une énergie, un dynamisme et la candeur touchante d’une fille qui a déjà beaucoup vadrouillé avant de monter sur scène. Alors ne vous laissez pas intimider par cette australienne montée sur 20 000 volts et découvrez très vite son premier album «Venus Gets Even» pour prendre la vie avec le sourire !
Nadeah, vous êtes australienne, mais vous êtes avant tout un exemple criant de diversité issu de plusieurs origines avec une propension à voyager . Pensez-vous que cette diversité enrichit votre musique ?
Je ne pense pas que mes origines ont beaucoup d’influence sur ma musique, sauf le fait que toutes mes origines sont autant de styles sur l’album. Ce que je sais avec certitude, c’est que l’album Venus Gets Even n’aurait pas sonné pareil s’i j’étais resté en Angleterre où j’étais entourée principalement par des rockers. Quand je suis arrivé en France, je n’ai pas fréquenté de rockers et par conséquent j’ai eu la liberté d’explorer d’autres territoires musicaux. Le destin m’a fait rencontré Nicola Tescari et Katia Labeque (pianiste classique) et j’étais comme une gamine dans une confiserie avec tous ces nouveaux instruments et toutes ces nouvelles possibilités – j’ai dévoré ce que la vie m’offrait et Venus Gets Even est né.
Après le groupe The Love Gods fondé avec Arthur Menuteau, …