La grande réussite de The War On Drugs
Par Eddie Williamson – bscnews.fr / Je n’aurais pas dû lire les critiques déjà publiées sur ce disque… Et vous allez peut-être regretter de lire la mienne. Beaucoup d’entre elles décrivent la musique de The War on Drugs comme de la « driving music », la musique qui accompagne parfaitement de longs road trips en voiture. Je m’étais déjà fait un monologue inintéressant sur cette fameuse « driving music » dans ma critique de Disappears de Guider donc je ne vais pas recommencer à jacter là-dessus, mais le fait est que je ne peux m’imaginer autre chose qu’un road trip en écoutant le deuxième album de ces Américains.
Le pouvoir de suggestion des critiques musicaux, c’est dingue. Je ne peux m’empêcher de penser que certains ont ruiné mon expérience de l’album. C’est vrai quoi, si ça s’trouve il m’aurait fait penser à un voyage en montgolfière au-dessus des Appalaches, mais nan, il a fallu qu’on me bombarde à répétition avec cette foutue expression de « driving music ». « Driving music ». Franchement. Bref.
Concrètement, la …