
Nicolas Ancion
Partagez l'article !Nicolas, vous avez plusieurs casquettes : écrivain, chroniqueur BD et scénariste. Quel est le fil conducteur qui relie entre eux tous ces rôles ? Pas de doute – à mes yeux du moins –, le fil rouge entre toutes mes activités, c’est l’écriture. On ne peut pas aimer écrire si on n’aime pas […]
Nicolas, vous avez plusieurs casquettes : écrivain, chroniqueur BD et scénariste. Quel est le fil conducteur qui relie entre eux tous ces rôles ?
Pas de doute – à mes yeux du moins –, le fil rouge entre toutes mes activités, c’est l’écriture. On ne peut pas aimer écrire si on n’aime pas lire, cela explique pourquoi je suis passionné, notamment, par les nouvelles formes que prend la bande dessinée en ce moment, et comme j’aime partager mes découvertes avec d’autres lecteurs, je tiens un blog à ce sujet. J’ai l’impression qu’il y a un véritable foisonnement et une créativité incroyable ces derniers temps dans le neuvième art, on réinvente sans cesse la manière de raconter des histoires, d’agencer le texte et l’image, je trouve cela passionnant. Quant à l’écriture proprement dite, en tant qu’auteur, j’ai toujours envie d’aller plus loin, de me lancer de nouveaux défis. J’écris pour les adultes, pour les enfants, pour les ados, pour la télé comme pour la radio, pour des magazines ou des livres. Plus c’est varié, plus ça me plaît. J’adore écrire des nouvelles pour leur brièveté et des romans pour le parcours qu’on fait avec les lecteurs. Le point commun derrière tout ça ? Sans doute l’envie de stimuler l’imagination en permanence, de surprendre les lectrices et les lecteurs, de les emmener là où ils ne pensaient pas aller. Sans oublier l’humour, qui est pour moi le meilleur moyen d’éviter la prétention en littérature.
En tant qu’auteur publié, comment expliquez-vous toutes les difficultés que rencontrent les …