Iyah May: « Quand j’ai vu que la réalité a été déformée pour le profit et le contrôle, cela m’a frappé. La pandémie a tout amplifié : la peur, le silence imposé aux voix dissidentes »
EXCLUSIVITÉ ! Médecin et artiste indépendante, Iyah May bouscule les codes musicaux qui dénonce les mensonges et le profit. Son titre Karmageddon, véritable phénomène musical écouté par des millions de personnes à travers le monde, dénonce les dérives du pouvoir, Big Pharma et la manipulation des récits dominants notamment pendant le Covid.
Dans cette interview exclusive accordée à Putsch, l’artiste australienne revient sur son parcours atypique, ses inspirations et ses combats. Entre le monde médical et la scène musicale, Iyah May explore la capacité de l’art à soigner, éveiller les consciences et provoquer le changement.
Votre parcours est unique : médecin et artiste engagé. Comment ces deux univers influencent-ils votre musique et votre manière d’écrire ?
Ces deux mondes se complètent. L’art et la médecine ont de nombreux points communs. L’art est une forme de médecine. Le monde médical m’offre l’opportunité de plonger dans la vie de personnes malades, qui ont besoin d’aide. Cela permet de relativiser et rappelle que la vie est très éphémère et précieuse. Certains passent leur existence cloués à un lit d’hôpital, souffrant ou incapables de marcher.
La musique, quant à elle, me permet d’exprimer ce que j’ai sur le cœur, de jouer et d’apporter de la créativité dans le monde en touchant les gens. Ces deux univers se rejoignent par leur capacité à guérir les autres.
Votre chanson Karmageddon dénonce la manipulation des médias et la corruption institutionnelle. Quels événements ou expériences personnelles vous ont inspiré pour écrire ce titre ?
Karmageddon n’a pas …