Claude Simon : une esthétique de la (dé)composition
Par Marc Emile Baronheid – bscnews.fr / Disparu en 2005, vingt ans après la consécration du prix Nobel de littérature, Claude Simon avait préparé soigneusement le choix de ses écrits qui seraient publiés en Pléiade, l’année suivante.
Fer de lance, La Route des Flandres (1960), dont beaucoup parlent sans l’avoir lu encore. Exclus voire excommuniés, ses quatre premiers livres. Le second volume qui paraît respecte sa volonté. Il rassemble ses oeuvres des débuts « L’herbe (1958), Histoire (1967), Les corps conducteurs (1971), Leçon de choses (1975, puis Les Géorgiques (1981), l’Invitation (1988), récit narquois …