Carole Martinez redit la puissance et la vulnérabilité des femmes
Par Carole Zalberg –bscnews.fr / Après le très beau et déjà très singulier « Le Cœur cousu », Carole Martinez convoque à nouveau dans « Du domaine des murmures » tous les éléments de notre monde, les invisibles comme les incarnés, pour redire la puissance et la vulnérabilité des femmes.
L’époque du récit est très éloignée : un XIIème siècle dont l’essence et plus concrètement l’ossature même semblent être les mille et un visages de la foi avec ce qu’elle implique de force et de bienveillance et aussi ses contraires, faiblesse des âmes s’en remettant au divin, intolérance face à ce qui diffère ou se veut libre.
Ainsi d’Esclarmonde qui, à 17 ans, …