« Le Schmock » : l’Incorrigible Franz-Olivier Giesbert

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Incorrigible, ce Franz-Olivier Giesbert. Aucun sujet n’est sérieux, si le sarcasme ne lui fait pas cortège. Petit garçon d’Andersen, miroir des puissants, il impose sa musique sur laquelle le sujet doit danser. Non pas en appliquant le « simule et dissimule » cher à Mazarin, mais en fou du roi mâtiné de Stéphane Guillon, agitant un hochet en forme de sceptre ou arborant sur son torse le point d’ironie cher à Agnès B.

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Son portrait du docteur Schmock est une descente retorse des rapides dans lesquels Hitler a entraîné l’Allemagne. L’explication du phénomène est simple: l’aquarelliste autrichien, artiste contrarié, par ailleurs Wagner de la flatulence, est arrivé au bon moment.« Les grands destins historiques sont le fruit du hasard, de la nécessité, des circonstances. Quant à la politique elle …

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