Laurent, comment en êtes vous venu à l’écriture?
Faire publier son publier son premier livre, facile ou difficile, au regard de votre expérience?
D’après vous, qu’est ce qui fait la différence pour parvenir à séduire un éditeur?
Il n’y a pas de règle pour séduire un éditeur. Tout repose sur votre histoire, la construction du récit, vos personnages et votre style.
Comment expliquez-vous toutes les difficultés que rencontrent les auteurs méconnus pour publier?
Laurent, comment votre publication est-elle arrivée chez Cap Bear?
Que diriez-vous aux lecteurs du BSC NEWS pour les inciter à lire votre ouvrage « Le rédempteur de la tête”?
C’est difficile d’essayer de « vendre » son roman… Tout comme il est difficile de parler de soi. Lorsque je lis les 18 avis des internautes du site de la Fnac, je me rends compte que c’est entre autre le côté réaliste du « rédempteur de la têt » que les lecteurs ont apprécié. En effet, je parle de quelque chose que je connais et qui, dans d’autres romans, ou dans ce que l’on peut voir à la télé, est complètement travesti, défiguré, presque dénigré. J’ai essayé de donner la meilleure vision de mon métier, sans tomber dans le reportage écrit pur autant. Avec « le rédempteur de la têt », le lecteur se retrouve plongé au coeur d’une enquête criminelle. Il l’a voit, la vit de l’intérieur. C’est le travail difficile de deux policiers confrontés à un tueur en série. Il y a un Lieutenant de Police, qui rêve de belles enquêtes et qui se morfond au commissariat de PERPIGNAN. Un jour, il est appelé sur une une découverte macabre, avec une mise en scène effrayante. C’est la police Judiciaire qui prend la suite de l’enquête. Ce qui ajoute à sa frustration, à sa lassitude. Mais, le lendemain, une lettre anonyme est adressée au Procureur de la République. L’assassin demande que ce soit ce petit lieutenant qui mène l’enquête. Pourquoi ? Quels liens peuvent-ils bien exister entre ce policier et ce tueur sans pitié ? Durant l’enquête, il va devoir travailler avec une jeune femme, gardien de la paix, travaillant à la Police Judiciaire. Elle est tout son contraire : belle, jeune dynamique, enjouée… Au fur et à mesure du roman et des 5 meurtres, l’étau se resserre autour du lieutenant et autour de la relation d’abord tendue voire conflictuelle entre lui et sa collègue. Mais, jusqu’où sont-ils prêts à aller, tous les deux, pour démasquer le tueur et leurs propres sentiments ?