Par Julie Cadilhac– PUTSCH.MEDIA/ Byambasuren Davaa signe un conte d’une extraordinaire tendresse au coeur des steppes de la Mongolie. Relevant du documentaire et de la fiction,

Le chien jaune de Mongolie

étreint le coeur et ravit le regard. Cette jeune réalisatrice de 39 ans y montre les conséquences de l’urbanisation d’un pays. La Mongolie, à part dans sa capitale de Ulaanbatar ( qui compte 800 000 habitants) dispose d’une population éparse, vivant principalement de l’Agriculture. Beaucoup sont nomades.

Le chien jaune de Mongolie

suit l’espace d’une heure et demie la vie d’une de ces familles, vivant dans une yourte, se déplacant au gré des saisons et pour les besoins du troupeau de chèvres et de moutons, en guerre constante contre les loups qui infestent le pays.

Le synopsis? Une petite fille nommée Nansa recueille un chien abandonné dans une grotte. Elle souhaite l’adopter mais son père s’y oppose violemment. En effet, de nombreuses familles nomades abandonnent leurs chiens lorsqu’elles partent vivre en ville; ces derniers pactisent donc avec les loups pour survivre. Adopter un chien sauvage représente donc le danger …