Iyah May : la “Taylor Swift version pilule rouge” qui défie Big Pharma et les algorithmes

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Médecin et artiste indépendante, Iyah May fait partie de ces figures insaisissables qui refusent de choisir entre la science et la création, entre la lucidité et la fureur poétique. Révélée au grand public avec son titre planétaire Karmageddon — un cri viscéral contre les dérives du pouvoir, Big Pharma et la manipulation médiatique durant la crise du Covid —, elle continue de tracer sa route, libre, hors des majors et des algorithmes.

Sur X, Iyah May a récemment livré une série de messages lumineux et introspectifs :

« Nous sommes aussi puissants que nos pensées. Et même si les pensées négatives s’infiltrent plus facilement, elles ne sont qu’illusions. Et si ta vie allait en réalité devenir tout ce que tu espérais — et plus encore ? Les chances sont grandes. »

Cette vision presque spirituelle prolonge la philosophie qu’elle défendait déjà lors de son entretien exclusif avec Putsch en janvier 2025 : croire au pouvoir de l’esprit, à la vérité et à la création affranchie des dogmes.

Toujours sur X, Iyah May a choisi d’en rire : « Il circule une rumeur sur Internet disant que je serais une IA… Qu’en pensez-vous ? Suis-je réelle ou une simple fantaisie algorithmique ? 🤖 On m’appelle aussi “la Taylor Swift pilule rouge” 💀 »

Une provocation à son image, pleine d’autodérision, qui souligne son statut d’artiste hors-norme : libre, imprévisible, et lucide sur la folie du monde numérique.

Dans un autre message, elle dévoile les coulisses de sa création : « Moments en coulisses du tournage de clips et d’autres projets… Mon équipe est très petite (la vie d’artiste indépendante), en réalité, c’est surtout moi et quelques amis que je considère comme ma famille. On a monté cette pièce dans notre studio et semé un joyeux chaos. C’est toujours une folie. D’autres morceaux arrivent. »

L’indépendance, la débrouille, la fraternité créative : voilà le carburant d’Iyah May, bien loin des productions aseptisées et des “produits” calibrés par les labels.

Iyah May ne cherche pas à plaire — elle cherche à percuter. Elle soigne, compose, écrit, et surtout, dérange. Là où tant d’artistes se perdent dans la course aux vues et aux abonnés, elle rappelle : « Il est bien plus gratifiant de se concentrer sur l’impact que sur les chiffres et les algorithmes. »

Et de l’impact, elle en a. Son art touche, réveille et inspire, sans campagne marketing ni manager star. Juste une voix, une conviction, et une liberté farouche. Un nouveau titre serait d’ailleurs en préparation. Et si l’on en croit ses promesses de “mayhem” en studio, le prochain séisme Iyah May n’a pas fini de secouer la musique indépendante — et nos certitudes avec elle.

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