(Vidéo) François Gervais : «En France, on dépense 40 milliards pour éviter un réchauffement de 0,000056 degrés par an »
Voilà une déclaration qui va donner des sueurs froides à certains militants écologistes et au gouvernement complètement obnubilé par la transition écologique et la catastrophe qui adviendrait à cause du « dérèglement climatique ». Invité chez nos confrères de TV Libertés, le physicien François Gervais, auteur du livre provocateur « Il n’y a pas d’apocalypse climatique », met brutalement les pieds dans le plat de la transition écologique française. Selon ses calculs fondés sur les propres données du GIEC, les efforts consentis par la France pour lutter contre le réchauffement climatique relèvent d’une disproportion hallucinante : « On dépense 40 milliards pour éviter un réchauffement de 0,000056 degrés par an ». Oui, vous avez bien lu : une somme astronomique pour un résultat microscopique, voire inexistant.
Connu pour ses prises de positions iconoclastes sur le climat, François Gervais décortique sans état d’âme le rapport officiel « Résumé à l’intention des décideurs » du GIEC, qui estime que le CO2 génère un réchauffement global annuel de 0,007°C. Avec la France responsable d’à peine 0,8 % des émissions mondiales, le physicien obtient ainsi ce chiffre dérisoire : 0,000056°C par an. Autrement dit, les milliards engagés par l’État seraient engloutis dans une bataille symbolique, aux effets aussi invisibles qu’un neurone actif chez certains décideurs politiques.
🌍🌡️#Transitionécologique : « On dépense 40 milliards pour éviter un réchauffement de 0,000056 degrés par an ?
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— TVL (@tvlofficiel) March 28, 2025
Plus encore, Gervais met en lumière les écarts vertigineux (500 %) existants entre les modèles climatiques du GIEC, accusant implicitement une dérive alarmiste et une instrumentalisation des peurs écologiques. Dans un contexte où l’éco-anxiété progresse aussi vite que la dette publique française, ces propos incisifs devraient provoquer plus d’un malaise dans les cercles politiques et associatifs.
Alors, réelle urgence climatique ou crise artificiellement gonflée ? François Gervais, en tout cas, appelle à un retour nécessaire et urgent à la raison scientifique, estimant que seule une lucidité retrouvée pourra permettre d’éviter une catastrophe… financière, cette fois-ci bien réelle.
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