« On n’arrive pas à recycler la connerie de tous ces gens. Si on pouvait brûler ça au lieu de brûler du fioul ou du gaz russe, on ferait énormément d’économies, parce qu’il y en a à profusion ! » La phrase claque, provocante et cinglante. Elle est signée Maître Cugnache, chroniqueur de la matinale Tocsin, dans un moment de verve assez tranchant.

Dans cet extrait, l’avocat au franc-parler se paie le luxe d’une métaphore éco-politiquement incorrecte : transformer l’absurdité des décisions politiques en biocarburant. L’idée fait sourire… jaune, surtout le gouvernement.

Derrière l’ironie, une critique au napalm de la classe dirigeante : choix énergétiques incohérents, politiques de gribouille et discours creux recyclés à l’infini. Sauf que, comme le souligne Maitre Cugnache, cette matière-là — la bêtise — semble inépuisable, mais impossible à valoriser. Une énergie fossile… de l’intellect.

Dans une époque où tout se recycle, sauf le bon sens, la sortie de Maître Cugnache résonne comme une alarme : à défaut de solutions concrètes, les élites carburent à l’absurde. Et ça, pour le coup, ce n’est pas très décarboné.

👉🏻« On n’arrive pas à recycler la connerie de tous ces gens. Si on pouvait brûler ça au lieu de brûler du fioul ou du gaz russe on ferait énormément d’économies, parce qu’il y en a à profusion ! »

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— Tocsin (@Tocsin_Media) March 25, 2025