La récente suppression d’une vidéo d’Idriss Aberkane par YouTube, dans laquelle il tentait d’analyser le conflit israélo-palestinien, a suscité de vives réactions et une profonde préoccupation concernant la liberté d’expression sur les plateformes en ligne. Idriss Aberkane, qui bénéficie d’une très large audience sur les réseaux sociaux, a vu sa vidéo retirée après avoir accumulé plus d’un demi-million de vues en seulement 34 heures. Face à cette situation, il s’est exprimé sur Twitter : « Après plus d’un demi million de vues en 34h ma nouvelle vidéo vient d’être censurée par @YouTubeCreators ! Comment un appel à la paix peut-il être censuré? C’est absolument lunaire! »

Cherchant à surmonter cet obstacle, Idriss Aberkane a fait preuve d’initiative en trouvant une autre plateforme pour héberger sa vidéo. « Pour contourner la censure délirante de @YTCreateurs je profite donc de l’espace de liberté défendu par @elonmusk et je reposte la vidéo dans son intégralité sur @X », a-t-il tweeté.

Après plus d’un demi million de vues en 34h ma nouvelle vidéo vient d’être censurée par @YouTubeCreators

Comment un appel à la paix peut-il être censuré? C’est absolument lunaire! pic.twitter.com/9TAZWjeLW4

— Idriss J. Aberkane Ph.D, Ph.D & Ph.D (@idrissaberkane) October 16, 2023

Cette nouvelle affaire de censure soulève des questions essentielles sur la liberté d’expression à l’ère numérique et sur le pouvoir détenu par les grandes plateformes de contrôler le discours public. Le débat sur les limites de cette liberté et le rôle des géants du web dans la régulation des contenus ne fait que commencer et la censure frappe partout les médias indépendants et les voix discordantes.

https://twitter.com/idrissaberkane/status/1713934033879433554