« Barbès Trilogie » : Le 18e arrondissement, ses pipes et ses chimères
Il est dommage que la bibliographie convenue qui clôt ce livre oblitère la qualité essentielle de Villard : poète ! Les marées les plus noires de ses romans n’ont jamais réussi à engloutir sa bouteille à « L’Amer ».
Le voici revenu à la Série Noire, pour la première fois depuis 2002. On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans de circumnavigation. Mais son retour est tonitruant, qui s’arcboute à Barbès l’ensorceleuse funeste. C’est là que Jacques Transom, éducateur de rue, s’acharne à éviter aux parias du …?xml>