Alexandre Diego Gary : l’espérance de l’amour
Ses initiales rappellent celles du pseudonyme d’Alain Fournier. Et l’univers du Dompteur de mouches cousine avec le roman noir «on y évoque même Stig Dagerman», sauf que, chez Gary, l’ intranquillité des tripes est essentielle et souveraine.
Roman à tiroirs, mais surtout roman à clés – interchangeables – ce troisième livre de l’autre Gary toise la statue du Commandeur, un peintre grand « égolâtre » dont on organise les obsèques. Elaine, sa fille, va perdre pied. «« Il y avait des choses qu’elle ne voulait garder que pour elle. Dont elle voulait qu’elle ne se sachent pas. Elle se résignait à ce que le suicide …