Honoré de Balzac : un amour de paradoxe

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Par Marc Emile Baronheid – Balzac aimait à manier le paradoxe. Familier de la Touraine, il se mit au vert à Paris.

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Plus exactement, il y prit le maquis, se cachant à Montparnasse sous le nom de son beau-frère, au 2e étage d’une maison sise dans un quartier considéré comme « le bout du monde ». La raison ? Il était assailli par ses créanciers. Passé le moment où il écrit pour payer ses dettes, il a rêvé des beaux quartiers et trouvé une certaine ivresse à être reçu dans les salons prestigieux. Des plaisirs mesurés, parce qu’il continuait jour et nuit à houspiller son encrier. Un petit livre doté d’un index des lieux raconte les années avides de gloire de ce Rastignac avant la lettre.

« Le Paris de Balzac », Anne-Marie Baron, éditions Alexandrines.7,90 euros

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