Festival de Cannes : Quand la philosophie fait son cinéma

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Par Sophie Sendra – Du 11 au 22 mai prochain s’est déroulé le 69ème Festival du film de Cannes sous la Présidence de George Miller, qui a vu le triomphe de Ken Loach, 10 ans après Le vent se lève, pour Moi, Daniel Blake. C’est également à cette période que les révisions du baccalauréat se font plus pressantes, plus stressantes aussi. Ce rituel anthropologique de passage est une étape incontournable de la vie lycéenne.

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Comment ne pas résister à l’envie de suivre ces défilés incessants d’acteurs, d’actrices, de réalisateurs, d’inconnus également, qui viennent se perdre sur le tapis rouge. Les Marches emblématiques de ce Festival semblent interminables, à l’image de l’affiche qui trônera sur la façade du Palais. L’image est tirée du photogramme du film Le Mépris de Jean-Luc Godard. Mais pour ceux et celles qui ne connaissent pas Cannes, il faut savoir qu’il n’en n’est rien. Les Marches sont peu nombreuses, le parterre est très court et l’entrée n’est pas aussi grande que ce que montre la télévision. La salle est également très petite, elle n’est pas aussi vaste qu’il y parait. L’ambiance est à « l’observation » généralisée. Tout le monde se regarde, s’épie, se photographie. L’apparence …

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