Dieu est mort: un manifeste scénique qui ne manque pas d’esprit

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Par Florence Yérémian – Régis Vlachos est partisan d’un théâtre intelligent. Après sa prestation dans le Marchand de Venise et son dialogue spirituel autour de la bombe d’Hiroshima, le voici seul sur scène pour régler ses comptes avec Dieu.

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Acerbe et ironique, il s’adresse au Créateur quel que soit son nom. Confondant les trois grandes religions monothéistes, il se moque ouvertement de leurs inepties et critique sans tendresse leurs chefs de secte: qu’il s’agisse de Jésus, Mahomet ou Moïse, il en fait des figures de pacotille et n’hésite pas à se proclamer prophète à son tour! Effaré par les six milliards de croyants qui peuplent la planète sans pouvoir vivre en …

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