Le Cid : une partition cornélienne toute en facéties

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Par Florence Yérémian – Peut-on aimer l’assassin de son père? Telle est la question que pose le Cid en mettant en scène la passion de deux jeunes tourtereaux brisée par la querelle de leurs aïeux. Dans cette histoire d’amour et d’honneur, Chimène est éprise de Rodrigue mais elle doit réclamer la tête de son amant car il a tué son père…

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Entre désespoir, héroïsme et noblesse des sentiments, cette tragédie à l’originalité de bien se finir pour le plaisir de tous.

Fidèle à son attrait des lettres classiques, Jean Philippe Daguerre a choisi d’adapter le Cid en le dépoussiérant quelque peu de son emphase tragique. Faisant appel à la fougueuse troupe du Grenier de Babouchka, il a raccourci certaines tirades, accentué l’aspect comique de la pièce et agrémenté le tout de musique acoustique.
Le rôle du Cid revient à Kamel Isker qui nous avait agréablement séduit dans le rôle de Scapin au printemps dernier (

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