Ingrid Naour : un court roman où chaque ligne est un sourire
Par Eric Yung – Avec « Les trous de conjugaison », Ingrid Naour, nous offre un court roman où chaque ligne – enfin, presque – est un sourire.
Ce livre qui rompt avec le conformisme de notre époque est réjouissant tant l’héroïne principale interprète, avec des mots joyeux, un hymne permanent à la fête et à l’espoir. L’histoire est simple et se confond avec celle de Trinité Bréti, personnage phare du roman, une bonne vieille cht’i qui n’a connu que le Nord de la France et son « petit appartement de la rue des Comtesses à Seclin » là « où sa vie a laissé tant de miettes ». Suite à l’héritage inattendu « d’une cousine au second degré de sa mère », Trinité devient propriétaire d’une …